ATOOL, Amis du Temple et de l’Orgue de l’Oratoire du Louvre
Créée en 2012, cette association, a pour but de promouvoir et favoriser toute activité participant à la mise en valeur du patrimoine architectural, musical et culturel de l’Oratoire, et de son orgue.
Dans ce but elle recherche des fonds nécessaires au financement des activités musicales organisées dans le temple. Elle anime et gère les dites activités en liaison étroite avec l’Eglise de l’Oratoire (APEROL).
L’association bénéficie aussi du soutien financier de nombreux donateurs et a pu ainsi procéder à une première tranche de travaux de rénovation de l’orgue. La deuxième tranche de travaux est prévue pour le printemps 2014, il s’agira d’enlever la poussière accumulée depuis plus de 25 ans. Elle pourra, une fois ces travaux réalisés, proposer et développer une politique musicale à l’Oratoire, lui permettant ainsi de remplir parfaitement son objet social et culturel. L’association est administrée par un conseil d’administration et a élu son président parmi ses membres : c’est Jean Dominique Pasquet organiste titulaire.
CH.ORA.L, Chœur de l’Oratoire du Louvre
La Maitrise de l’Oratoire, créée en 1934, qui compte actuellement 58 choristes, est aussi étroitement liée à l’APEROL. Elle a pour vocation première de participer à la vie de l’Eglise par sa contribution musicale une fois par mois, le dimanche lors des cultes et lors des grandes fêtes chrétiennes. Elle puise son répertoire prioritairement dans la musique sacrée.
Les choristes, membres de cette association, viennent de tous les horizons avec un point commun, l’amour de la musique et du chant. Ils sont recrutés par le chef de Chœur, lui même recruté par l’APEROL.
Le chef choisit et propose au Chœur un programme musical pour l’année composé d’une grande œuvre classique que celui-ci chante lors des concerts annuels. Le 30 septembre dernier, il a interprété sous la direction de Nicholas Burton Page, le Gloria et le Magnificat de Vivaldi. Le chœur travaille et répète tous les jeudis et un samedi par mois il travaille la technique vocale.
Cette association est administrée par un conseil d’administration et élit son président parmi ses membres, Antoine Odier est l’actuel président.
André Ducros et Rose Marie Boulanger
Maître de chapelle
A la suite du départ en retraite de Nicholas Burton-Page, le recrutement de son successeur a été entrepris par une commission formée de membres du choeur, de l'ATOOL et du Conseil presbytéral. Plusieurs candidatures ont été examinées. Le Conseil a nommé Fabien Aubé maître de chapelle de l'Oratoire du Louvre. Fabien Aubé est actuellement chef du choeur polyphonique Maurice Ravel et complète sa formation au centre de Musique baroque de Versailles. Il sera présenté à notre communauté à la prochaine intervention du choeur lors d'un culte.
Bilan des événements de cette rentrée
Le mois de septembre 2013 fut riche en événements à l’Oratoire ; les Journées Européennes du Patrimoine ont attiré 4500 visiteurs cette année. Le samedi soir la Cantate donnée par la Camerata St Louis a attiré un public très nombreux qui remplissait le temple.
A la fin septembre ce furent les journées de « Protestants en Fête », événement qui a pris sa place dans la vie de nos Eglises protestantes. Visites, expositions et conférences, ont attiré au moins 2500 visiteurs. Les très nombreux participants ont rempli le temple lors du concert du Choeur, puis pour les 2 conférences du samedi et facilement rempli la salle Monod pour les projections du film de C. Reussner sur Th. Monod. Parmi eux beaucoup venaient du midi et d’Alsace et ont profité de ce séjour parisien pour faire connaissance avec l’Oratoire du Louvre.
Après la soirée d’hommage à Albert Schweitzer le jeudi 3 octobre qui attira aussi un public nombreux et attentif, ce fut la longue soirée de la Nuit blanche le 5 octobre, organisée en partenariat avec la ville de Paris, qui a attiré entre 19 heures et 2 heures du matin, plus de 1800 personnes. Nos visiteurs ont pu voir la projection d’une vidéo réalisée par Claire Adelfan intitulée « Forges ». Nous renouvellerons cette expérience l’an prochain avec d’autres événements.
Merci aux bénévoles qui ont donné leur temps et leur énergie pour le succès de tous ces événements, contribuant par leur accueil chaleureux de tous à la connaissance de notre temple et au rayonnement de notre paroisse.
André Ducros
Des journées du Patrimoine aux journées de Protestants en Fête
La première journée du Patrimoine fut médiocre. Il faisait froid, il pleuvait. Il y eut moins de visiteurs que l'année précédente. Pendant que je distribuais des brochures , rue de Rivoli, une dame me demanda ce qu'était ce bâtiment. Petit laïus d'explications: ancienne chapelle royale devenue temple protestant. Etonnée elle me regarda et me dit: " Il y en a encore des protestants?"!!!
Si j'avais revu cette dame lors des journées de « Protestants en Fête » je lui aurai montré combien les protestants étaient bien là. Les visiteurs furent très enthousiastes, souriants, fiers et heureux d'être réunis pour ces belles journées. Ils furent nombreux à visiter notre temple, intéressés par les expositions sur Paul Ricœur et Albert Schweitzer, posant de nombreuses questions sur l'un comme sur l'autre. Et nos amis alsaciens si contents de voir leur grand homme à l'honneur!
C'était notre foi qui nous réunissait, notre confiance dans notre religion réformée, notre espérance en l'avenir. Simplement notre joie d'être ensemble.
Oui madame, il y en a encore des Protestants.
Rose Marie Boulanger
Echos du Conseil Presbytéral
Depuis le numéro de juin 2013, que s’est il passé au conseil presbytéral ? Nous vous rappelons que le Bureau, puis le Conseil se réunissent tous les mois, sauf les deux mois d’été.
L’organiste titulaire a été reçu par le Conseil du mois de juin, pour faire le point sur la rénovation des orgues et dans le cadre des activités de l’ATOOL, la préparation de la soirée hommage à Albert Schweitzer et pour dessiner les contours de mise en place d’une politique musicale.
Le conseil presbytéral qui souhaite améliorer les contacts à la sortie du culte, avec les paroissiens et les participants réguliers, a validé un court questionnaire afin de récolter des informations et d’établir un contact personnel avec ces personnes. De la décision à l’action il n’y a qu’un pas et vous êtes en ce moment de l’année sollicités à la sortie des cultes par certains conseillers.
Dans le même esprit un repas d’accueil fraternel sera organisé en fin d’année réunissant les bénévoles de la paroisse et les membres du conseil, afin d’échanger et mieux se connaître, et leur témoigner notre profonde reconnaissance.
Le conseil a aussi validé les propositions de modifications des statuts (eh oui déjà) formulées par l’EPUdF (Eglise Protestante Unie de France) concernant les travaux des prochains Synodes (régional et national).
Le conseil a aussi reçu le président de L’Entraide, qui a présenté les diverses actions et missions de cette association et ses relations avec Topaza, orphelinat à Madagascar.
La sécurité dans le temple et la maison Presbytérale restent des préoccupations permanentes du Conseil et des conseillers presbytéraux et de l’Entraide seront formés aux règles d’évacuation et de sécurité à observer lors d’une assemblée (culte ou vente, conférence), lors d’un exercice d’évacuation.
Presque lors de chaque conseil un point sur le suivi des finances de la paroisse est dressé et réalisé par la trésorière qui la développera dans un prochain article. Il en est de même avec le suivi des travaux .
Tous les sujets concernant l’évolution de notre société font aussi partie des débats abordés en conseils, ex : mariage pour tous, nous attendrons les décisions du Synode national qui statuera sur cette question. Ces débats reflètent ainsi la diversité des points de vue des conseillers et de notre église, qui doit être plus que jamais réceptive, ouverte, et veiller à ce que chacun se sente accueilli et trouve sa place parmi nous.
Le conseil presbytéral suit aussi avec attention les préparatifs de la Vente annuelle de la paroisse qui, cette année, a eu lieu fin novembre et qui a innové sur plusieurs points, deux entrées rue Saint Honoré et rue de Rivoli, présence d’un salon de coiffure, repas adaptés pour les petits lors des déjeuners du samedi et lundi.… sous la fraternelle animation des routiers et le repas des ainés salle Monod.
Merci à tous de votre généreuse présence et participation, merci aussi à tous les bénévoles qui ont organisé et tenu les stands pendant ces journées, et à celles et ceux qui sont venus disposer les stands dés le jeudi et ranger le temple samedi soir.
André Ducros
Conversion
Nous avons toujours imaginé qu’il était bien plus facile de se convertir d’une religion à une autre plutôt que de se convertir de la négation du religieux à la foi. Ayant grandi dans des familles non religieuses, l’expérience de la conversion est d’autant plus difficile, mais aussi plus intense, car elle doit passer par un cheminement personnel.
Après de longues hésitations, nous avons décidé de faire ce pas. De longues hésitations, car longtemps nous avons cru que la conversion, que ce baptême représente pour nous, devrait être l’aboutissement d’un travail qui s’exprimerait dans une croyance absolue, une foi inébranlable et triomphante, celle de celui ou celle qui n’aurait plus de questions à se poser. Maintenant qu’on en parle, cette vision d’une ‘foi inébranlable’ nous fait presque sourire : d’un côté par sa naïveté, d’un autre par son intransigeance - intransigeance notamment envers nos propres doutes, envers nous-mêmes et envers les autres ‘croyants’. La recherche de cette certitude, d’une intensité de foi presque absolue nous semble maintenant un peu monstrueuse, inhumaine, car elle essaye en quelque sorte d’affirmer le divin à travers la négation de l’humain : la négation du doute, de la fragilité, de l’hésitation et de l’erreur - une humanité qui est finalement aussi celle du Christ.
Nous commençons à nous rendre compte aujourd’hui que la réalité indéniable de cette faiblesse, de notre insuffisance à comprendre le divin n’est pas antithétique de l’expérience de la foi chrétienne. Au contraire, nous estimons à présent que le doute est l’essence même d’une conversion, car seul le doute permet la réalisation de la nécessité et de l’intensité de la Grâce. L’acceptation de cette insuffisance humaine, que nous estimions gênante, nous apparaît maintenant libératrice : elle nous libère du poids de devoir résoudre toutes les difficultés par nos propres forces, et nous aide à admettre nos propres limites. La conversion signifiée par ce baptême représente surtout une invitation active à l’opération de la grâce, à la manière d’une prière ouverte. Loin d’être un aboutissement, ce baptême marque dès lors le début d’un chemin, sans doute encore long et accidenté, mais un chemin qui n’est plus solitaire, et dans lequel nous pouvons compter sur des forces qui dépassent les nôtres.
Eléonore et Marco
Le Patateuque
Les jeunes de l’Oratoire qui ont participé au camp national de cet été ont imaginé une réécriture des premiers chapitres de la Genèse. Le récit du déluge peut nous offrir un nouveau conte de l’Avent.
Le Déluge
5 1 Jadis les patates s’élevaient hors-sol. 2 Après qu’Adam eut percé la couche d’ozone, elles subirent l’effet de serre. Dans la serre à patates il faisait de plus en plus chaud.3 C’était trop chaud. 4 Les glaces fondaient, et le mélange des parfums était abominable. 5 Le thermostat grimpait inexorablement. 6 Les patates furent bientôt plongées dans l’eau bouillante. 7 Ramollies par la grâce offerte sans condition, autrement dit sans effort, aucune ne sut réagir. Elles avaient vécu le bonheur comme un dû, elles subissaient la fin de leur monde passivement. 8 Elles n’avaient pas développé leur esprit critique, elles attendaient tout de leur créateur. Elles étaient comme un enfant béat face à son père. Alors que les eaux montaient, on vit, inconscientes, des frites maillots. 9 Une patate odeur d’abricot, pourtant, ne resta pas les germes croisés. 10 C’était une patate droite, qui vivait en communion avec Dieu. 11 Au lieu de se laisser emporter par la mer, elle la prit. 12 Sur un petit navire elle affronta la tempête, s’enfonçant dans des vagues gigantesques. 13 Elle était crevée, elle était rincée, mais vaillamment combattit les éléments déchaînés. 14 Sur la plus haute montagne de l’Ararat se terrait une petite patate, celle qui sentait si bon la vanille. 15 Elle aussi avait été réceptive au souffle de Dieu, et cela lui avait redonné du courage pour fuir la mortelle marée montante. 16 Mais maintenant l’océan la cernait de toute part. Elle pria. « Je suis désespérée mon Dieu ! Que puis-je faire ? Il n’y a plus d’issue. Dois-je donc périr comme les autres ? Je n’attendrai pas la mort passivement, je préfère sauter dans les remous. » 17 Cependant l’Eternel lui ouvrit les yeux. Il n’y eut pas de patate sautée, car la petite patate vit le navire arriver, glissant sur les gouffres amers.
6 1 La voile gonflée par le Zéphyr, les deux patates sortirent dans la tourmente. 2 Elles pouvaient enfin faire connaissance. 3 Un arc-en-ciel perça les nuages. 4 Les deux patates éclatèrent de rire : oui, le danger était enfin passé ! 5 L’avenir s’ouvrait à elles ! Il fallait se chercher une île flottante, on vivrait simplement… 6 Que la nuit étoilée leur parut belle, et pleine de promesses ! 7 Mais une colombe se posa sur le haut du mât et les dévisagea.
Les Ténèbres
8 1 Le peuple patate tenta d’abord de surnager, mais perdit pied. Tous les pieds de patate furent inondés. 2 Elles pleurèrent le Pat(tat)radis perdu, où elles pouvaient se la couler douce. 3 S’enfonçant inexorablement dans l’eau bouillante, elles comprenaient qu’elles ne feraient plus surface avant longtemps. Déjà les jours heureux passés à rôtir au soleil leur paraissaient être il y a une éternité. 4 La rentrée dans la zone des grandes profondeurs leur donna immédiatement le mal de mer. 5 Elles invoquèrent le nom du Seigneur en vain. Il n’envoya pas de gros poisson pour les sauver des eaux, les renvoyant à leurs responsabilités.
9 1 Elles voulurent oublier le cataclysme qui leur tombait dessus. 2 Lassées de boire la tasse, elles trouvèrent une horrible échappatoire artificielle : elles s’entretuèrent afin de distiller à partir des cadavres de leurs consoeurs un alcool fort, la vodka. 3 Cette eau de vie détruisit complètement la culture des patates, déjà mise à mal par cette bonne descente aux enfers. 4 Ce fut un abominable carnage, comme une épouvantable orgie trop arrosée. 5 Le peuple des pommes de terre revint à l’état sauvage. 6 « Chacune pour sa peau, pour faire la peau des autres », était la seule valeur commune. 7 Tout semblait donc perdu. 8 Mais les patates continuèrent à espérer en secret la venue ex machina d’un sauveur, 9 un Hercule qui, au « non » universel à la vie aurait répondu un « mais si ! » enthousiaste.
Gustave
La garderie : pour petits et grands !
Vos jeunes enfants ont du mal à rester sages pendant le culte ?
La garderie est là pour vous aider !
En effet, tous les dimanches scolaires, des bénévoles s’occupent des jeunes enfants pendant toute la durée du culte. ils peuvent y jouer, dessiner, ou se faire raconter des histoires. Les bébés sont également les bienvenus, et, si vous apportez le biberon, on le leur donnera !
Vos enfants passeront un bon moment, se feront des amis, et vous pourrez profiter pleinement du culte.
La garderie ouvre à 10h20 chaque dimanche scolaire : les enfants peuvent venir à n’importe quel moment, même une fois le culte commencé. Si vous le désirez, vous pouvez rester un moment avec votre enfant avant de repartir au culte.
Vous aimeriez bien aider de temps en temps, mais vous ne savez pas très bien comment? Pensez à la garderie !
N’hésitez pas à rejoindre l’équipe : elle est constituée de personnes de tous les âges, qui viennent une fois par mois ou une fois par an : toute aide est précieuse. Vous pouvez venir voir comment cela se passe, discuter avec les bénévoles, venir en renfort un dimanche où il y a beaucoup d’enfants, venir à deux...
Elle est située au rez-de-chaussée de la Maison Presbytérale, au 4 rue de l’Oratoire. Il est inutile de s’inscrire et elle est gratuite.
Contact : garderie@oratoiredulouvre.fr
Dorothée
L'Oratoire et Paul Ricœur
Les liens qui existent entre l'Oratoire et Paul Ricœur passent par l'Institut Protestant de Théologie (I.P.T.).
En effet Paul Ricœur, par attachement au protestantisme, a choisi de léguer à l'I.P.T. sa bibliothèque personnelle de 15 000 ouvrages ainsi que ses archives, sa correspondance, ses fiches de lecture... Mais recevoir un tel don implique une grande responsabilité : celle de faire rayonner la pensée de ce grand philosophe protestant. L'I.P.T. envisagea de réorganiser ses bâtiments : augmenter le nombre de salles de cours, aménager une bibliothèque ainsi qu'un espace "Fonds Ricœur", rénover le bâtiment central mais réduire le nombre de logements pour les étudiants. Le financement de tous ces travaux était en partie assuré par des subventions publiques mais ne concernait pas l'aspect philosophique et culturel lié à Paul Ricœur. Pour faire fonctionner le fonds Ricœur il fallait organiser des études, des échanges avec d'autres universités et susciter la venue à l'I.P.T. de doctorants et de chercheurs.
C'est ainsi que l'Oratoire participa au financement de deux logements destinés aux étudiants travaillant sur l'œuvre de Paul Ricœur. Il fut aussi décidé de financer des bourses pour ces mêmes étudiants. En échange de cette aide les étudiants pris en charge doivent faire des prédications et des conférences à l'Oratoire.
En nous associant à la réparation des locaux de l'I.P.T. et en aidant des étudiants qui travaillent sur l'œuvre de Paul Ricœur, l'Oratoire participe à la connaissance de ce grand penseur qu'est Paul Ricœur, et à travers lui au rayonnement du protestantisme, et ainsi de l’annonce de l’Évangile.
Rose Marie Boulanger
Christian Mazel 1919 - 2013
Quelques mois après Solange, son épouse, c’est Christian Mazel qui nous a quittés, le samedi 9 novembre. Il avait été pasteur à l’Oratoire du Louvre 24 ans durant lesquels il a fortement marqué la communauté par sa prédication portant des convictions empreintes de fermeté et d’ouverture au monde. A La Clairière, auprès des enfants, il faisait preuve d’imagination pour rendre vivants les récits bibliques car il s’agissait, pour lui, d’être témoin d’une parole qui fait vivre.
Retraité, Christian était devenu rédacteur en chef d’Évangile et liberté. Il avait à cœur de faire découvrir le miroitement des différentes expressions spirituelles et de susciter un esprit fraternel. Nous disons toute notre affection et, précisément, nos sentiments fraternels à ses quatre filles Catherine, Geneviève, Dominique et Odile, à leurs compagnons, à leurs enfants et petits-enfants.
Vous êtes musicien ?
Nous aimerions organiser un concert entre nous, pour bénéficier du talent et de la passion des paroissiens qui jouent d'un instrument.
Quel que soit votre âge, si vous maîtrisez bien un joli morceau de musique sur votre instrument, nous serions vraiment heureux si vous vous signaliez à un des pasteurs ou des organistes.
La date du concert n'est pas encore fixée, elle le sera en accord avec les intervenants sélectionnés pour ce premier concert "entre nous".